De 0 à 12 MILLIONS en 1 TEMPS RECORD ! :)

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Transcription – De 0 à 12 MILLIONS en 1 TEMPS RECORD ! 🙂 

De 0 à 12 millions de reals. Ici Maxence Rigottier. Je suis avec Karinny Ank qui va nous expliquer le marché brésilien. Tu vas revenir sur les success-stories, ce qu’on peut voir là-bas. Aujourd’hui, vous connaissez certainement le marché américain qui a 3, 4, 5 ans d’avance sur le marché francophone. On a aussi le Brésil qui est juste derrière les Etats-Unis et qui est en avance sur le marché francophone.

 

Ça va vous permettre de savoir l’évolution du marché de l’infoprenariat au cours des prochaines années.

 

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Salut Karinny. Est-ce que tu peux rapidement te présenter pour qu’on puisse te connaître et savoir plus de choses sur toi ?

 

Karinny : bonjour tout le monde. Je m’appelle Karinny Ank. Je suis franco-brésilienne. Je travaille depuis deux années sur le marché français. Je développe une start-up française au marché brésilien. La dernière que j’ai développée, c’est Lingo. Donc les gens du e-commerce connaissent bien. Maintenant, j’ai un projet pour développer une start-up brésilienne, qui cartonne au Brésil, ici en France et je suis aussi infopreneuse sur le marché brésilien dans le commerce du e-commerce. Je souhaite aussi quelque chose en France parce que je crois énormément dans le potentiel de ce marché.

 

Je vais parler de Hotmart. C’est la solution que j’ai développée ici en France. C’est une plateforme pour les infopreneurs. Elle est spécialisée dans des produits numériques, dans des infoproduits. On vend tout ce qui est infoproduit, des cours en ligne, de ebooks, des formations, de e-tickets et des applications mobiles ou des solutions pour automatiser vos business en ligne. On vend sur notre plateforme tout ce qui est numérique. On est spécialisé là-dessus.

 

Maxence : ce que tu m’avais évoqué, Hotmart, c’est l’équivalent, a priori en mieux, de Click Funnels que j’utilise personnellement ou encore mieux de Learny Box pour le marché brésilien et vous vous développez à l’international pour ensuite arriver en France au cours de prochains mois et des prochaines années.

 

Karinny : exactement. Leur stratégie était de développer le marché brésilien, espagnol et anglais, et moi je les ai convaincus de développer le marché français parce que j’écoute le marché français et c’est quand même intéressant.

 

Maxence : il y a quand même 100 millions de francophones.

 

Karinny : exactement. J’ai utilisé leur outil et je leur ai dit : c’est génial, il faut que vous développiez en France. Quand j’ai commencé à parler de comment marche le marché francophone, ils m’ont dit, c’est génial, on va développer en France. Ils m’ont donc embarqué dans le projet et c’est bien.

 

Maxence : explique-nous un peu les success-stories au Brésil. Il y a par exemple Erico Rocha qui fait plusieurs millions par an. Il y a une autre personne. Erico Rocha, une autre personne sur l’anglais 12 millions de reals, dont 3 millions d’euros annuels. C’est à travers un site sur l’anglais, un Brésilien vend une méthode pour apprendre l’anglais. C’est assez impressionnant. Imaginez, je ne pense pas qu’il y ait d’infopreneur francophone, qui réalise plus de 3 millions d’euros annuels aujourd’hui sur le marché.

 

Explique-nous quelques success-stories aujourd’hui et à quoi va s’étendre le marché au cours des prochaines années ?

 

Karinny : je crois vraiment que d’ici deux ans, avec l’aide de Hotmart, les changements de mentalités, c’est ça aussi que je voulais aider les Français à changer un peu leur mentalité, les croyances limitantes, parce que je pense qu’on peut arriver à faire d’ici deux ou trois ans un lancement de 12 millions d’euros sur le marché francophone. Je crois vraiment ça. Je suis aligné sur ça.

 

Je suis brésilienne, mais j’habite ici en France. J’ai comparé les deux marchés, surtout le marché du e-commerce, et le Brésil est encore derrière la France sur le marché du e-commerce. J’ai commencé à m’intéresser au marché de l’infoprenariat et j’ai vu que le marché français était devant le marché brésilien et j’ai vu le marché brésilien monter

 

Maxence : monter à une grosse vitesse et maintenant le Brésil est largement en l’avance sur la France.

 

Karinny : on avance. Quand j’ai vu que des gens faisaient déjà un million en France, on a commencé à perdre des gens qui faisaient un million au Brésil. Et maintenant on a des gens qui font 12 millions. Vous allez peut-être demander la différence, si on fait l’échange, un euro c’est 4 reals en ce moment.

 

Maxence : un euro, 4 reals en 2016.

 

Karinny : oui, c’est ça. En 2016, parce qu’en 2012, c’était un euro deux reals. La valeur de la monnaie brésilienne va monter les prochains mois. C’est la perspective économique. Je suis convaincu qu’il faut qu’on réfléchisse en unité monétaire. Un produit qui coûte 500 euros coûte au Brésil 500 reals. Un produit qui coûte ici 2000 euros coûte au Brésil 2000 reals. Donc si on arrive à faire 12 millions de reals, on peut arriver à faire 12 millions d’euros.

 

Maxence : même unité monétaire.

 

Karinny : exactement. J’ai dit au congrès, et tu te rappelles qu’on a fait un Facebook live, et que chacun a dévoilé une pépite ?

 

Maxence : oui.

 

Karinny : une fois qui m’a frappé ces derniers mois, je commençais à voir dans ces cas de success-stories, tu vois Mairo Vergara au Brésil qui a fait 12 millions de reals et toute l’histoire, tu vas voir des choses derrière, et tu vas comprendre cette story complètement. Pourquoi ?

 

Il a commencé dans l’infoprenariat il y a 3 ans. C’est génial, il y a fait 12 millions de reals en trois ans !

 

Maxence : c’est fabuleux. Vous vous dites peut-être qu’est-ce qu’il a bien pu vendre pour l’équivalent de 2000 euros sur l’anglais ? tu sais un peu son produit ?

 

Karinny : oui je connais son produit, c’est pour ça que je voulais parler dessus. En fait, si tu étudies vraiment ce qu’il y a derrière, les coulisses de son succès, tu vas voir qu’il a bossé depuis plusieurs dizaines d’années sur sa méthode.

 

Maxence : sur l’anglais, c’est un ancien prof d’anglais peut-être ?

 

Karinny : oui. Il a fait toute sa vie des langues. Il a développé une méthode qu’il apprenait avant aux gens en présentiel. Et là, avec la puissance d’Internet, tout le monde au Brésil veut parler anglais bientôt parce qu’il va apprendre à tout le monde à parler anglais à une vitesse incroyable. Il a une méthode qui marche et en six mois les gens arrivent à parler anglais très bien.

 

Maxence : c’est une méthode qu’il vend à 2000 reals, donc l’équivalent de 500 euros, mais en unité monétaire c’est comme si vous vendiez un produit à 2000 euros, sur comment apprendre l’anglais de manière très rapide en maximum 6 mois, même si vous êtes débutant.

 

Karinny : oui exactement.

 

Maxence : en trois ans, tu sais le nombre d’emails, le nombre d’inscrits à sa mailing-list par rapport au lancement ? Est-ce qu’il a eu des partenaires ? Tu connais un peu les coulisses du lancement ?

 

Karinny : oui je sais les coulisses du lancement et c’est ce que je voulais vous dévoiler. Pour comprendre, il avait déjà une méthode qui marchait très bien. Son produit avait une très grande potentialité. Quand il a fait son premier lancement, il a obtenu soit 25 000 reals soit 45 000 reals. C’était un de ses deux chiffres dans son premier lancement.

 

Maxence : on était très loin de 12 millions.

 

Karinny : exactement. Ça, il y a trois ans. Quand je l’ai rencontré au Brésil, parce que je vais de temps en temps au Brésil, il n’était pas connu, mais j’ai senti une volonté. Il croyait vraiment dans son produit parce qu’il a bossé dessus toute sa vie. Il voulait changer. La première chose que j’ai faite pour développer sa carrière, c’est apprendre l’anglais, quand j’avais 10 ans. C’est très important d’apprendre une deuxième langue, surtout l’anglais d’abord.

 

Il croit vraiment à ça. Et après il avait cette envie d’atteindre le maximum de gens. Pour faire ce premier lancement, il a bossé avec ses clients. Tous les clients étaient ravis. Ils lui ont fait de super témoignages parce que sa méthode marche. Deuxième lancement, il s’est mis à travailler le copywriting. Il n’y a pas beaucoup travaillé l’affiliation d’abord, mais il a commencé à donner beaucoup de bon contenu, comme tu es en train de faire, pour sa chaîne YouTube, à sa liste, aux gens qui s’étaient abonnés tous les jours.

 

Maxence : excellent

 

Karinny : excellent, comme tu le fais aussi ! Je vais passer à le faire parce que maintenant je suis convaincue que c’est une bonne façon, mais il faut faire des choses de qualité et pas, je suis ici, je prends ma douche !

 

Maxence : pas en quelque sorte, j’ai mangé trois yaourts et de la purée à midi. Le vlog, c’est un bon moment de temps en temps, mais pas trop non plus parce qu’il y a un manque de valeur et que vous n’ayez pas que des gens qui sont là que pour le divertissement.

 

Karinny : oui, sinon, il y a Snapchat. C’est très bien pour montrer les coulisses.

 

Maxence : tu m’as initié à Snapchat.

 

Karinny : je l’ai initié à Snapchat !

 

Maxence : comme je vous l’ai dit, c’est à maxrigottier. Vous pouvez me découvrir sur Snapchat.

 

Karinny : et moi c’est karinnyank si vous voulez. Maintenant je fais mon Snapchat en français.

 

Maxence : ton pseudo Snapchat, si des personnes veulent te suivre, c’est…

 

Karinny : karinnyank

 

Maxence : OK.

 

Karinny : on voit qu’il avait un produit qui marchait. Il donnait du contenu de très grande qualité et il commençait à étudier le trafic payant au Brésil. Il a fait un très grand investissement sur Facebook au Brésil. Et aussi il a des affiliés bien sûr.

 

Il faut savoir que quand il a commencé à se lancer sur le marché brésilien, il y avait déjà des gens qui faisaient des lancements d’un million dans un produit sur l’anglais. Tu vois, il y avait déjà des leaders sur le marché dans son domaine. Mais lui, il avait un produit meilleur parce qu’il avait bossé toute sa vie dessus, depuis qu’il était petit. Il y avait déjà des leaders sur le marché, mais quand il est apparu avec ses produits, il a tout cartonné.

 

Maintenant, il a dépassé, il est devenu le leader du marché. Les leaders du marché ont une croissance comme ça, et lui, il a une croissance exponentielle.

 

Maxence : vous avez vu la puissance de l’évolution qu’il a eue. Trois points qu’il faut vraiment retenir : de l’excellent contenu sur sa chaîne YouTube, pour ses followers, ses fans, ses listes, ses abonnés à sa newsletter. Deuxième point : investissement en masse dans la publicité payante et principalement Facebook. Et le troisième point : des partenaires.

 

Ce sont ces trois leviers qui lui ont permis d’exploser, en plus d’avoir évidemment un excellent produit et des personnes à 100 % satisfaites. Généralement, c’est ce qu’on a retenu au Congrès, moi, ça va être mon gros pilier, la publicité Facebook au cours des 12 prochains mois. En plus, j’ai noté trois actions principales, et j’en ai aussi pour YouTube live et Snapchat.

 

Snapchat, il faut vraiment vous y mettre parce qu’au cours des prochaines années, ce n’est pas forcément pour vendre à l’heure d’aujourd’hui, mais vraiment rentrer dans l’intimité de la personne. Je le vois avec Olivier Roland, avec toi également, on a l’impression qu’on est super pote depuis super longtemps, comme si c’était notre femme, notre mari, notre famille. Et ça, ni Facebook, ni Facebook live, ni YouTube, rien d’autre à part Snapchat, ne vous permet cette connexion.

 

Karinny : c’est de l’engagement

 

Maxence : même si la personne a dit qu’elle est à Amsterdam, on a l’impression d’être avec elle. Ce qui est bien aussi, c’est que comme ce n’est que quelques secondes, 10 secondes maximum, c’est rapide à faire et à visionner.

 

Erico Rocha est aussi un gros leader par rapport à l’immobilier. Quelles sont les autres thématiques où les gens ont fait des millions au Brésil, je ne sais pas, peut-être en voile, au piano, en espagnol ou que sais-je ? Quels sont les autres principaux marchés que tu as vu exploser au Brésil au cours des 2-3 dernières années ?

 

Karinny : je pensais me baser de façon concrète sur ça. Avant je voulais faire un point. Une des choses aussi, je crois sur ça, et c’est pour ça que j’ai demandé à Hotmart de venir en France et je l’ai convaincu de le faire. Mairo Vergara utilise Hotmart et quand il a fait son lancement de 12 millions qui a battu tous les records, c’était en fait plus de 12 millions. C’est 12 millions et quelque mille.

 

J’étais là-bas chez Hotmart et c’était la semaine de lancement de Mairo Vergara. J’ai vu vraiment les coulisses. J’étais dans les back up seat du lancement. Chez Hotmart, il y a un calendrier des plus gros lancements. Les gens qui ont déjà 5000, ils les accompagnent vraiment de près. Tu sais, les gens que tu paies, ici en France les marketeurs…

 

Maxence : ce qu’on appelle aussi des consultants

 

Karinny : tu paies tout ça 1000 euros pour que la personne accompagne un gros lancement. Au Brésil, Hotmart le fait. Tu as notre producteur, tu as de bons résultats, on fait ça gratuitement et on a une connaissance parce qu’on a plus de 90 % du marché. Mairo est producteur chez nous et c’est des facteurs qui l’a aidé à cartonner. Pendant son lancement, on était bloqué. OK, cette semaine, il y a Mairo Vergara. Un autre producteur aussi à ce niveau-là qui fait plusieurs unités de millions.

 

On dit aux gens : cette semaine c’est Mairo, donc on orchestre le lancement. C’est vous, après c’est toi. C’est un peu échelonné les lancements comme un jeu d’échecs. Avant le lancement, on passe tout, les tunnels de vente, tout ce qui va se passer, les check-up personnalisés, tout est bien réglé, on test tous les liens, les streamings. Il faut que tout marche. Si tu as un problème de streaming, tu perds 20-30 % de tes ventes et ça, ce n’est pas possible, surtout si tu lances une fois ou deux fois par an. Tu ne peux pas faire des erreurs dans ton lancement. Il faut que tout soit parfait. On était là, tout est validé, on commence le lancement.

 

Toute l’équipe qu’on appelle CS, customer service, pour les gens qui font plusieurs millions on appelle les blacks. Les customer service des blacks étaient là pour accompagner le lancement pas à pas et c’est ça aussi qui a permis. Je me rappelle que pendant son lancement, il y a eu un problème. Les vidéos étaient hébergées chez Vimeo, quelque chose comme ça, et on a mis cinq serveurs pour son lancement.

 

Maxence : oui, parce qu’il y a eu des milliers de clients qui ont acheté.

 

Karinny : c’est ça, il y avait un trafic énorme. Il a mis cinq serveurs pour être sûr que rien n’allait bloquer chez nous.

 

Maxence : qu’il n’y ait pas de bug technique.

 

Karinny : ses vidéos étaient sous Vimeo. Il y a El Corocho qui a appelé Mairo et Joao qui était au téléphone parce que Vimeo n’a pas pu supporter le lancement, il y avait un problème dans les streamings. Pendant deux heures, il y avait un problème, ses vidéos ne s’affichaient pas. Au dernier moment, on a tout mis en streaming chez nous et son lancement a pu continuer et n’était pas impacté. Même pour un lancement énorme comme ça, il y avait un petit problème dans les coulisses que je dévoile.

 

Hotmart s’occupe pour tout se passe bien. On est dessus depuis des années. Donc pour tout se passe bien et que les gens puissent faire leur lancement de manière « maestrelle »

 

Maxence : de manière magique ou en maître des lieux.

 

Karinny : exactement. Je reviens à ta question. Une chose que je ne vois pas en France et je ne comprends pas pourquoi, il y a des niches complètement inexploitées. Je peux dire un peu des niches que tu exploites aussi.

 

Maxence : dis-nous toutes les niches où tu te dis qu’ils sont complètement en avance au Brésil ou en France qui sont inexploitées pour qu’on puisse augmenter notre chiffre d’affaires.

 

Karinny : c’est ça que je vais toucher les gens. Les gens pensent, ah, Karinny, c’est génial, maintenant je vais exporter mon produit au Brésil. Non, il y a plein de choses à faire en France. Au Brésil, ça cartonne et tout, mais les gens sont guerriers, ils bossent, c’est chaud, il y a plein de produits déjà. Je veux que les gens créent des produits sur des marchés différents en France. Allez, on peut le faire. Pour moi, ton produit, c’est génial, dans une niche spécifique, les paris sportifs. Tu fais très bien les niches que tu as prises en France. Il y a plein de gens intéressés.

 

Au Brésil, personne n’a pris cette casquette, mais on voit plein de niches au Brésil, on voit même des gens intéressés par ce que je fais.

 

Maxence : au Brésil, la niche paris sportifs n’a pas été exploitée ?

 

Karinny : non, pas encore. Mais il y a des niches de poker, des mémorisations, plein de niches qui sont exploitées au Brésil. Et surtout, je vois plein de femmes au Brésil en train de cartonner, de faire des lancements de plusieurs unités de millions, mais pourquoi ici les femmes n’y vont pas ? Il y a Nathalie Cariou.

 

Maxence : sur l’intelligence financière.

 

Karinny : je l’ai félicitée pendant ma présentation, parce que c’est la femme ici qui fait un million d’euros. Donc, suivez Nathalie Cariou. Mettre ici les liens de sa chaîne.

 

Maxence : vous l’avez sur la chaîne YouTube, je l’ai interviewée juste avant toi. La vidéo est donc sur YouTube.

 

Karinny : j’ai fait une vidéo avec elle sur ma chaîne brésilienne, traduit en portugais, mais la vidéo est en français. Regarde aussi ma chaîne YouTube parce que je fais intervenir des gens en français, et tu peux mettre un lien sur ma tête ici pour que les gens suivent ma chaîne. J’ai plein d’entretiens en français et en anglais avec des sous-titres en portugais, mais vous pouvez comprendre.

 

Maxence : tu as dit que les paris sportifs n’étaient pas exploités au Brésil. Quelles sont les niches qui sont au Brésil saturées et qu’en France tu te dis, j’ai l’impression qu’il n’y a personne ?

 

Karinny : fitness

 

Maxence : fitness

 

Karinny : j’ai cherché, cherché, je n’ai trouvé que Nicolas.

 

Maxence : Nicolas « Elser » ?

 

Karinny : oui. Il est bien positionné sur le marché et je vois qu’il a un potentiel énorme. Je travaille avec lui parce que j’ai dit : Nicolas, tu vois ton potentiel. J’ai présenté un cas Vinicius Possible, il a aussi la même chose, maintenir la forme. Nicolas, c’est plus sur le cyclisme, et Vinicius Possible c’est la musculation. C’est une niche qui cartonne au Brésil. Il y a des femmes qui travaillent sur ça. Il y a un produit au Brésil, « le corps de 21 ans ». C’est du fitness pour les femmes, spécialisé pour le corps de la femme.

 

Maxence : en 21 jours

 

Karinny : c’est pour avoir un corps de 21 ans toute sa vie.

 

Maxence : OK, un corps de 21 ans toute sa vie. Belle promesse.

 

Karinny : oui.

 

Maxence : fitness, est-ce que tu as noté d’autres thématiques ?

 

Karinny : oui thématiques variées. En France, je vois qu’il y a beaucoup sur make money et self development.

 

Maxence : développement personnel et tout ce qui est argent, bourse, immobilier, marketing Internet. Il y a aussi poker, paris sportifs, où je suis également, tout ce qui est domaine à argent et développement personnel.

 

Tout ce qui est en dehors de tout ça, je vous donne quelques exemples : la voile, la peinture, j’avais même rencontré à un événement quelqu’un qui était sur la météo, et ça marchait plutôt bien pour lui, j’étais surpris.

 

Vous pouvez avoir une thématique un peu spécial. J’ai par exemple des membres dans mon club privé, j’ai notamment Grégory qui est sur l’aviation. A part lui, certes c’est une niche assez restreinte, mais je ne connais personne d’autre dessus. J’aime bien prendre l’exemple de la voile parce qu’à ma connaissance, aujourd’hui, il n’y a personne qui est dans le domaine de la voile. Sur le vin, il n’y a personne non plus.

 

Karinny : il n’y a personne. Il y a deux marchés en France où on voit une puissance énorme, sur les vins…

 

Maxence : si vous êtes dans le vin, gros marché pour vous.

 

Karinny : Olivier Roland parle à tous ses élèves : eh ! quelqu’un prend la casquette des vins, s’il vous plaît ? C’est vrai. En France, vous êtes producteur de vin, vous avez les meilleurs sommeliers au monde.

 

Maxence : en plus, ça se vendrait parfaitement parce que la France est réputée par rapport au vin et sa gastronomie. Pareil la gastronomie.

 

Karinny : attends, parce que Hotmart, on cherche un sommelier et quelqu’un de la gastronomie et aussi quelqu’un dans le jardinage.

 

Maxence : quand tu dis jardinage, c’est le potager ou un jardin ?

 

Karinny : jardin à la maison ou d’appartement. On voit en France que 3 personnes sur 4, ou 2 personnes sur 4, aiment beaucoup d’occuper des plantes, avoir un petit jardin et on n’a personne qui a pris la casquette sur le marché français. Donc, il y a plein de choses à exploiter. Au Brésil, je parlais de niches qu’on n’imagine même pas, et il y a une femme qui vend des cours pour faire de petites truffes au chocolat. Elle fait 5000 par mois sur cette niche. Je crois qu’on a le potentiel de faire 5000 euros par mois en France sur cette niche. Elle n’a même pas un cours, c’est deux ebooks. Elle vend deux ebooks

 

Maxence : à quoi ? 20-30 euros ?

 

Karinny : je ne sais pas les prix des produits, mais je peux regarder et tu mettras dans les commentaires de la vidéo.

C’est impressionnant, elle a deux ebooks sur comment faire des truffes au chocolat. Et ça marche, ça cartonne.

Et il y aussi quelqu’un au Brésil qui vend un cours pour comment ranger ton…

 

Maxence : la couture au Brésil, il y a un gros marché. Pareil, en France, à ma connaissance, il n’y a personne dessus. Le tennis aussi. J’ai un membre de mon club privé qui est sur le tennis, donc vous pouvez aussi vous mettre dessus, il y a un beau marché. Couture, je te laisse reprendre.

 

Karinny : oui, couture au Brésil, il n’y a personne qui a pris encore, mais je crois que c’est un bon marché au Brésil et aussi en France. Il paraît qu’aux Etats-Unis, il y a quelqu’un apprend le tricot et ça cartonne aux Etats-Unis. Je pense que ça peut cartonner au Brésil parce que c’est même thérapeutique.

 

Maxence : à ma connaissance, il y a beaucoup des gens en France qui sont fans par rapport à ça.

 

Karinny : et une chose impressionnante au Brésil, il y a quelqu’un qui fait un cours pour ranger la machine à laver. Il cartonne, il fait plusieurs…

 

Maxence : millions ?

 

Karinny : non, pas millions

 

Maxence : centaines de milliers d’euros

 

Karinny : oui, centaines de milliers d’euros, par mois en vendant ça, pour ranger la machine à laver.

 

Maxence : ranger sa machine à laver ou ranger ses habits dans la machine ?

 

Karinny : fixer la machine à laver.

 

Maxence : juste avec fixer la machine à laver, plusieurs centaines de milliers d’euros par mois.

 

Karinny : oui, exactement.

 

Maxence : impressionnant.

 

Karinny : impressionnant. Il y a des gens qui achètent le cours, ah c’est bien je vais apprendre à ranger la machine et je peux ranger la machine des autres. Ça devient un métier de technicien. Vous savez qu’en France, c’est encore beaucoup plus payé qu’au Brésil ces métiers de base, de fixer des choses. Parfois des personnes qui sont dans ces métiers gagnent plus que des cadres en France.

 

Je ne sais pas si vous savez, mais les gens qui rangent les machines, qui font des peintures dans la maison, ils gagnent parfois plus que des cadres, parce que ce sont des métiers extrêmement bien payés en France, pas au Brésil, et si le mec fait beaucoup d’argent comme ça au Brésil, imagine en France. Ah, c’est bien vous pouvez apprendre des métiers aux gens en France si vous avez cette connaissance technique. Si vous avez une technique qui marche bien, vous pouvez apprendre de nouveaux métiers en France pour que les gens soient indépendants et aient plus de liberté.

 

C’est de ça que je voulais vous parler. Il y a plein de casquettes à prendre encore. Il faut exploiter les niches. L’architecture au Brésil, il y a des gens qui font des lancements de deux millions sur l’architecture. Ils apprennent aux architectes à ranger leur agenda, à trouver des clients, à faire un bon devis, à faire de beaux projets. L’architecture au Brésil, c’est un marché qui est en pleine crise. C’est l’opportunité dans la crise. Je suis en crise, qu’est-ce que je vais faire ? Je vais faire un cours. Il faut que je trouve plus de clients. Il vend comme de l’or son cours.

 

On me dit parfois, mais Karinny, je ne peux pas vendre sur un marché en crise. C’est contre-intuitif, mais c’est ça. Si ton marché est en crise, c’est là où il y a une opportunité parce que les gens ont besoin d’apprendre comment trouver des clients, augmenter leur portefeuille, le chiffre d’affaires. Il faut exploiter les niches en France.

 

On a aussi Laurent Breillat qui s’est débrouillé sur la photo. Il cartonne aussi. Il est incontournable sur le marché.

 

Maxence : il fait entre 500 et 700 000 euros par an. Laurent Breillat qui est également un ami à moi. Il n’a que deux produits sur la photo, à environ 300 euros. « Sublimez vos photos », excellente formation, et « Devenez un photographe accompli ». J’ai un ami qui aime bien la voile et Laurent a aussi un autre produit qui s’appelle Objectif photo, choisissez l’appareil qui vous rassemble.

 

A mon ami qui aime la voile, tu devrais dire : objectif bateau, choisissez le bateau qui vous rassemble. Et pour une formation : devenez un marin accompli et sublimez votre bateau. Il pourrait vraiment recourir sur la voile à ce que fait Laurent dans la photo parce que c’est vachement cohérent.

 

Ce qui est magique avec Laurent, c’est qu’il est dans un gros marché, mais il a seulement deux produits à 300 euros. Il pourrait faire beaucoup plus. Il a décidé de privilégier son life style, sa qualité de vie, mais ça vous donne un ordre d’idée.

 

Comme tu l’as évoqué, il y a encore des dizaines et des centaines de niches non exploitées parce que tout le monde recopie un peu sur tout le monde ou n’y croit pas à 100 %. Le plus flagrant, je crois que c’est le vin, et moi, comme j’ai un ami qui est dans la voile, je dirais vin, voile. Je ne connais vraiment personne.

 

Karinny : c’est pour ça que je suis contente que tu sois basé sur les paris sportifs parce que c’est aussi ta passion.

 

Maxence : c’est effectivement une de mes passions aujourd’hui.

 

Karinny : tu prouves aussi aux gens qui peuvent réussir dans les niches différentes. C’est ça que je veux faire comprendre aux gens. On me dit, ah, mais non, ma niche, c’est pas ça. Mais attends : combien de gens partagent ta passion ?

 

Maxence : il y a deux critères principaux à toujours avoir en tête. Premier critère : quelle est la taille des gens qui s’intéressent à ce sujet ? Et le deuxième critère : quelle est la dépense moyenne de ces différentes personnes dans votre thématique ?

Je ne connais pas les chiffres, mais par exemple, si en voile, vous avez 300 000 personnes, vous vous dites : c’est un marché de 300 000. Quelle est la dépense moyenne, c’est certainement en entretien 10 000 euros par an ? Donc vous savez que vous pouvez vendre des produits à 2000 euros dans cette thématique. Vous avez juste besoin de convaincre 1000 personnes par an avec des produits à 2000 euros, boum 2 millions d’euros annuels et c’est acté.

 

C’est important d’avoir ça en tête, de se dire quel est le nombre de personnes dans ce marché et quelle est la dépense moyenne dans ce marché précis ?

 

Karinny : une chose qui me frappe aussi beaucoup, c’est les femmes les hommes

 

Maxence : qu’est-ce que tu vois au Brésil ? Est-ce que c’est 50-50 ?

 

Karinny : oui, c’est 50. Chez Hotmart, la moitié des employées sont des femmes et l’autre moitié des hommes. Les garçons sont très bien pour agir et les femmes sont très bien pour avoir des idées, donner une direction. Les mecs sont très bien pour maintenir et exécuter. C’est bien d’engager dans un projet un homme et une femme. Je vois plein de couples qui travaillent ensemble dans un produit.

 

Par exemple Mairo Vergara, son produit c’est jusqu’à 3,5 millions, c’est lui et sa femme qui travaille. Maintenant il a une équipe bien sûr, mais au début c’est juste lui et sa femme. Pareil, Erico, c’est sa femme qui organise les événements au Brésil. Les plus gros événements du marketing digital, d’infoprenariat au Brésil, c’est une femme qui organise. C’est le meilleur événement et ça cartonne. Je vais même essayer d’emmener des Français là-bas avec des casques de traduction. J’ai eu cette idée pendant cet événement. J’ai parlé avec elle.

 

Parfois je parle de choses et les gens ne croient pas. Mais je dis, c’est incroyable. C’est tellement incroyable, ils pensent que c’est un mensonge. Donc je veux vous emmener là-bas pour que vous voyiez par vos yeux.

 

Maxence : la première chose que tu m’avais dite par rapport au Brésil, cette personne qui a fait 12 millions, c’est vrai que c’est beau, inspirant. On peut se dire qu’en France, on peut aller dans les millions assez facilement, même dans des thématiques. L’anglais, on pourrait se dire que ce n’est pas possible de faire plusieurs centaines de milliers annuels, boum il y a une personne qui monte, même si on traduisait en euro, ça fait minimum 3 millions d’euros annuels. C’est quand même sympa.

 

Tu évoquais plutôt 50-50 hommes femmes. En France, je dirais deux tiers d’hommes, un tiers de femme. Et ensuite, en succès, je pense qu’il y a 80 % d’hommes. C’est dommage qu’il n’y ait pas plus de femmes. Si vous êtes une femme, lancez-vous. N’ayez pas peur.

 

Karinny : et surtout, entourez-vous d’hommes. J’étais en train de parler avec des hommes et on m’a dit, va parler avec les femmes. Mais vous, allez vous entourer des hommes aussi parce que c’est bien de combiner.

 

Maxence : se mélanger.

 

Karinny : se mélanger. Prendre des idées aussi des autres marchés. J’ai été formée par les start-ups, dans le milieu des « startupers » si tu veux. Je voyais aussi qu’Alex Rossi est là-dessus. On voyait que tu prends des idées des gens qui travaillent de manière différente. Si vous êtes dans l’infoprenariat, allez chercher dans un autre milieu des idées pour appliquer dans ton marché.

 

Je vois Nathalie Cariou qui a beaucoup de résultats. Elle a été interviewée par Maxence. Mais je vois aussi que les plus gros lancements orchestrés de toute l’histoire de la planète ont été faits par une femme, par Marie « Folio ».

 

Maxence : sur quelle thématique ?

 

Karinny : sur la thématique, surtout making money.

 

Maxence : une femme qui a mis la fessée à tous les hommes.

 

Karinny : oui, mais elle travaille avec des hommes. C’est ça le truc. Dans son équipe, elle engage les deux types d’énergie et de pouvoir. Et c’est ça aussi qu’on fait chez Hotmart. Je voulais un peu mélanger en France, parce que je veux que le marché français grandisse plus vite. Je veux ça, c’est ma bataille personnelle.

 

Maxence : ton objectif au quotidien.

 

Karinny : c’est pour ça que je voulais développer Hotmart ici d’abord parce que je crois qu’ils ont beaucoup à vous apporter. Les producteurs qui sont ici vont doubler sur leur marché. Je veux apporter ce mindset, cet état d’esprit. Mélangez-vous, travaillez ensemble. Maintenez votre féminité, soyez fier d’être une femme et travaillez ensemble. Je vois déjà des hommes et des femmes qui travaillent ensemble. Je vois des couples qui travaillent ensemble et ils ont très bien aussi.

 

Maxence : ils sont soudés.

 

Karinny : on voit aussi cet événement qui est organisé par Peg et Jeff. Les deux travaillent ensemble et ça marche très bien, on sent ça.

 

Maxence : je suis d’accord avec toi.

Merci pour ton retour d’expérience. Juste pour finir sur une dernière question : quand est-ce que Hotmart va être opérationnel en France ? Si des personnes sont intéressées, où est-ce qu’on peut te retrouver, si des gens se disent waouh, merci Karinny, en plus, c’était sympa ton petit accent, est-ce que je peux te retrouver ?

 

Karinny : je vais faire des cours de réduction d’accent parce que je veux que tout le monde me comprenne très bien.

Pour me retrouver, sur mon Skype.

 

Maxence : je mettrai dans la description de la vidéo YouTube juste en dessous

 

Karinny : mon Skype, c’est karinnyank aussi. Mon email, mon Snapchat, mon Facebook, c’est tout karinnyank. Ma chaîne YouTube, c’est : karinnyank. Tout attaché, sans point, sans tiret, sans rien, en minuscule. C’est mon Skype. Ajoute-moi et met un petit mot : karinny, c’est génial je suis infopreneur ou infopreneuse en France et je cherche à développer mon business en France via Hotmart. Comment on fait ? Contacte-moi via Skype et on va travailler ensemble.

 

C’était incroyable et maintenant il y a tellement de gens intéressés par Hotmart que je n’ai pas même de bras. Bientôt on va avoir plus de bras parce que je vais créer un prescripteur local ici. On va travailler ici en France, avec des natifs. Donc ça va être génial. Pour le moment, on va en train de valider les choix pour la plateforme. La plateforme est déjà prête pour le marché français, mais je veux vraiment valider, je veux des produits qui vont se vendre pour que tout soit parfait pour vous. Contacte-moi, on va se parler. Vous pouvez déjà commencer à créer votre compte chez Hotmart et on va valider le produit ensemble.

 

Maxence : vous avez l’accompagnement qui va avec pour pouvoir passer à la vitesse supérieure.

 

Karinny : exactement.

 

Maxence : merci en tout cas.

 

Si vous avez aimé la vidéo, je vous invite à cliquer sur le bouton « like » juste en dessous, sur le petit pouce bleu juste en dessous. Ça nous permettra d’avoir votre feed-back. Merci par avance.

 

Juste avant de vous laisser, je vous invite à télécharger ma vidéo de bienvenue, comment je gagne 465,09 euros en moyenne par jour avec mes différents sites web. Il y a un lien à l’intérieur de la vidéo YouTube. Cliquez sur ce lien, ça va vous rediriger vers une autre page où il suffit d’indiquer votre prénom et votre adresse email. Vous allez recevoir directement cette vidéo bonus dans votre boîte mail.

 

Si vous visionnez cette vidéo depuis YouTube ou un smartphone, vous vous dites merci, Maxence, mais il est où ce lien ? Il y a le « i » comme info en haut à droite de la vidéo YouTube ou encore tout est dans la description juste en dessous. Je vous mettrai les coordonnées de Karinny pour que vous puissiez la rajouter ou peut-être échanger pour une future collaboration. Je vous dis à tout de suite de l’autre côté pour la vidéo bonus, al vidéo privée. A très vite pour de nouvelles vidéo. Bye bye.

 

Karinny : merci beaucoup Maxence. Ciao !

Travail à domicile : le top 10 de ceux qui payent le mieux

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